DIY - Étui d'iPhone en cuir

mardi 18 novembre 2014


Voilà, enfin je l'ai finie cette petite pochette commencée… cet été ! À force de procrastiner entre chaque étape, Apple a eu le temps de sortir un nouvel iPhone et j'ai dû me mettre un coup de pression pour vous la montrer avant que mon iPhone 4 soit définitivement ringue. Comment ça il l'est déjà ? Mais c'est un 4S ! Bon de toute manière peu importe, car les dimensions de cette housse peuvent être adaptées à n'importe quel téléphone, même à un vieux Nokia si ça vous chante.

Malgré ce que cette introduction peut laisser penser, cet étui est super facile à réaliser, et ne nécessite qu'un petit bout de cuir. J'ai utilisé pour ma part un morceau de croute de cuir récupéré sur un sac HS (le même que celui qui m'avait servi pour faire ce porte-carte). Pour les Parisiennes, on trouve à l'espace cordonnerie du rez-de-chaussée du BHV des coupons de cuir de différentes couleurs pour quelques euros.

Allez le mode d'emploi.

Pour faire cet étui, il vous faut :

- un morceau de cuir
- de la peinture dorée (j'ai utilisé de la peinture textile mais avec de l'acrylique ça marche aussi)
- du fil à broder
- une perforeuse à cuir (5 € au rez-de-chaussée du BHV, une vraie mine ce rez-de-chaussée, oubliez le 2e étage "loisirs créatifs", c'est en bas que ça se passe !)

1- Mesurez votre téléphone et réalisez votre patron. Pour ce faire, il vous faudra multiplier sa longueur par deux et y ajouter 1,5 cm, et ajouter deux fois la taille de son épaisseur à celle de sa largeur. Ce qui pour un iPhone 4S mesurant 11,5 cm x 6 cm et ayant 1 cm d'épaisseur (j'arrondis) nous fait 24,5 cm x 8 cm. Découpez un rectangle de cette taille sur une feuille de papier, dessinez puis découpez une encoche sur une des deux largeurs. Tracez le contour de votre patron sur le morceau de cuir et découpez.

2- Les motifs maintenant. Découpez un rectangle de carton de la largeur de votre étui. Dessinez-y des triangles, évidez-les à l'aide d'un x-acto. Utilisez-le comme pochoir pour décorer le cuir avec la peinture dorée. Commencez par le milieu du rectangle en cuir et décalez votre pochoir à chaque rang pour obtenir l'effet en quinconce.

3- Une fois votre peinture sèche, retournez votre rectangle de cuir. Avec une règle, tracez un trait horizontal au stylo à 5 mm du bord de chaque longueur. Tracez un point tous les 5 mm sur ce trait en partant du haut de l'étui.

4- Utilisez les repères pour trouer votre morceau de cuir avec la pince à perforer, en utilisant la pointe la plus petite.

5- Avec votre fil à broder, cousez les bords de votre étui. Commencez en haut de la housse, en passant l'aiguille de l'intérieur vers l'extérieur et en laissant un morceau de fil à l'intérieur. Joignez les trous en descendant puis faites la même chose en remontant. Nouez l'extrémité attachée à votre aiguille à celle que vous avez laissée en haut, à l'intérieur. Reproduisez l'opération sur l'autre longueur.

6- L'heure de la révélation a sonné : ça rentre ou ça rentre pas ? Si vous avez bien fait vos calculs tout se passera bien, sinon utilisez-le comme porte-carte ;)

Ah et j'allais oublier, rendons à César ce qui lui appartient, cette housse a été inspirée par celle-ci, une adorable petite chose jaune croisée sur Pinterest il y a quelque temps, mais qui apparemment n'est plus en vente. Ce qui fait que vous n'avez plus le choix, si vous voulez la même il va falloir se mettre au boulot.

C'est tout pour aujourd'hui.
À très bientôt !

Istanbul : Balat, the place to be !

mercredi 15 octobre 2014


Parfois, les villes sont comme les gens, il faut leur donner une seconde chance ! La première fois que je suis allée à Istanbul, j'avais été un peu déçue, je ne m'attendais pas à tant de monde/voitures/modernité. La deuxième fois fut la bonne, j'y suis allée sans attentes, et j'ai beaucoup aimé. C'est une ville aux mille visages. Riche ou pauvre, tradi ou moderne, bobo ou bling, foulard ou cheveux platine, d'un quartier à l'autre, on passe dans des mondes complètement différents.

Parmi les quartiers visités, j'ai beaucoup aimé Cihangir pour ses jolies rues et ses cafés, Ortaköy pour ses restaurants au bord de l'eau (comme le House Café), Kadiköy pour ses boutiques d'antiquaires (rue Tellalzade) et Balat pour son authenticité.



Balat (avec Fener qui le jouxte) est l'ancien quartier juif, grec et arménien d'Istanbul. Il se trouve sur la rive ouest de la Corne d'Or, à 30 minutes à pied d'Eminonü. C'est un quartier modeste qui commence à se transformer avec l'arrivée d'artistes qui achètent et retapent ses vieilles maisons colorées. J'y ai débarqué un peu par hasard, en louant une chambre dans cette maison sur Airbnb.



Passée l'appréhension du début (bienvenue dans un monde inconnu), j'ai adoré ce quartier calme, quasi sans voitures (un miracle à Istanbul), où les enfants courent dans les rues, les femmes font leurs courses depuis leur fenêtre avec un panier accroché à une corde et où les commerces typiques alternent avec des cafés cosy.


Je vous conseille donc vivement d'aller y faire un tour si vous visitez Istanbul, pour une journée ou pour y dormir, les sites touristiques de Sultanhamet n'étant qu'à 15 minutes en bus ou 30 minutes à pied. Munissez-vous d'un bon plan, les rues sont tortueuses et nombreuses !





Une journée à Balat et Fener :

Commencez par avaler un café turc dans le café Afilli Cezve (près de l'arrêt de bus Balat) puis explorez les ruelles environnantes avant de grimper faire le tour du lycée grec, un immense bâtiment en brique qui surplombe le quartier. Si vous vous sentez d'humeur culturelle, vous pouvez faire un détour par le quartier voisin de Fatih (très traditionnel et religieux) pour admirer les mosaïques byzantines de l'église Saint-Sauveur-in-Chora.



Ensuite retour à Balat, rue Vodina, pour déguster des mantis (raviolis) au Vodina Café, un joli restaurant qui fait travailler les femmes du quartier. Dans la même rue, au numéro 10, vous pourrez acheter savons naturels, gants en crin et serviettes de hammam. Puis direction le vieil hammam du coin, le Cavus hamami (pour les femmes uniquement, un bâtiment voisin s'occupe des hommes). Vous n'aurez pas besoin d'utiliser votre nouvelle serviette, tout est fourni ! Pas de touristes ici, plutôt les femmes du quartier, et la totale gommage-soap massage-shampoing pour 50 lira (15 euros). Une expérience !



Après une bonne heure à vous faire récurer sous toutes les coutures, requinquez-vous avec un excellent döner chez My Dönerim, rue Ayhan, ou un délicieux börek dans la boulangerie à l'angle des rues Cimen et Vodina. Enfin allez où vous voulez en fait : les commerces de bouche sont nombreux à Balat, et tout ce que nous avons goûté était délicieux et probablement aux prix les plus bas d'Istanbul. Pour conclure la journée, siroter un thé dans les fauteuils en velours du Local Café Fener (rue Vodina) est une possibilité…



Extra tips pour Istanbul :

Pour tous les transports en commun, la carte Akbil est bien pratique. Elle s'achète dans les tabacs pour 7 lires (2 euros et quelque) et se recharge dans ces mêmes boutiques ou aux machines placées à l'entrée des terminaux de ferries. Elle permet de voyager moins cher dans tous les transports publics (bus, ferries et trams).

Enfin, pour éviter de vous faire arnaquer par les conducteurs de taxis (je parle d'expérience…), téléchargez l'application BiTaksi qui permet de trouver un taxi rapidement grâce à la localisation GPS et de payer toujours le juste prix.

DIY - T-shirt botanique

mardi 30 septembre 2014


Oui j'avoue je ne suis pas encore lassée des planches botaniques et de la galerie de la Biodiversity Heritage Library où on en trouve à gogo (des libres de droits je précise !). Donc après les avoir encadrées et transformées en étiquettes, je vous ressers un truc botanique !

Dès que j'ai vu cette multitude de planches sur Flikr, j'ai pensé que ce serait du meilleur effet sur du textile. J'avais d'abord pensé à un tote bag, façon je fais mon marché avec mon sac impression citronnier, puis un sweat. Et puis finalement j'ai décidé de faire avec ce que j'avais dans mon placard : un T-shirt bleu marine.

Si vous aussi vous voulez porter une planche botanique, il vous faut :

- un T-shirt en coton de couleur foncée (ou un sweat vu que ça se rafraîchit sérieusement en ce moment)
- du papier transfert pour textile foncé, découvert grâce au génial My Rainy Days
- une imprimante à jet d'encre classique
- des ciseaux, un x-acto et un fer à repasser


1. Choisissez votre planche sur le site de la Biodiversity Heritage Library ou téléchargez le camélia que j'ai utilisé ici.

2. Ouvrez votre document sur Photoshop et remplissez le fond en noir avec l'outil pot de peinture en faisant attention à bien tout remplir sans "tacher" le dessin (zoomez pour que le remplissage se fasse correctement). Cette étape n'est pas obligatoire, mais elle permet de faciliter le découpage en évitant qu'il reste des endroits clairs autour du motif.

3. Imprimez votre planche sur une feuille de papier transfert.

4. Découpez soigneusement votre motif avec ciseaux et x-acto.

5. Suivez les instructions du papier transfert pour appliquer le motif à l'aide de la feuille de papier sulfurisée fournie et de votre fer à repasser.

6. Portez avec fierté !


Quand est-ce qu'on s'installe à Marseille ?

mercredi 10 septembre 2014


Je trouve que comme Paris, Marseille est une ville qu'on peut adorer et détester dans la même journée, pas de demi-mesure ! D'ailleurs, ce n'est pas forcément l'amour au premier regard, c'est sale, embouteillé, chaotique, plein de rats et de crottes de chien… C'est une ville qui s'apprivoise. Il m'a fallu plusieurs séjours pour vraiment kiffer mais ça y est, après ce week-end c'est officiel, je suis sous le charme et j'aurais presque envie de m'y installer !

Les adresses et découvertes du week-end :

- On dort toujours aussi bien à l'hôtel Saint Louis et on mange toujours aussi bien au Baron perché, un petit restau italien planqué dans le 7e.

- C'est un lieu commun mais le Mucem est vraiment une totale réussite architecturale. Par contre sa collection permanente, euh on en parle ? On y croise un pingouin, une guillotine, un morceau du mur de Berlin… un vrai fourre-tout qu'on essaie de nous faire avaler en parlant des "singularités" de la Méditerranée. Improbable ! Enfin, il parait que les expos temporaires sont très bien.


- La quincaillerie Maison Empereur est à la hauteur de sa réputation (merci aux blogs qui me l'on fait connaître au passage) : on y trouve absolument tout pour la maison, des produits de qualité à un prix raisonnable. J'aurais pu y passer des heures. Pourquoi n'a t-on pas la même chose à Paris ?

- La calanque de Sugiton est une des plus touristiques selon les Marseillais (qui ont leurs adresses mais ne les donnent pas à la première venue), alors oui il y a un peu de monde, mais c'est quand même sublime et pas trop difficile d'accès (comptez une heure à pied depuis Luminy tout de même).


- Parce qu'on peut être à Marseille et avoir envie de raviolis russes (pelmenis), le restaurant ukrainien Kortchma, près du "cours Ju", est une bonne adresse. Il propose aussi une entrée avec verre de vodka intégré !

- Explorer les ruelles des villages perchés sur les collines du quartier Vauban, avec gosses qui jouent dans les "sentes" et odeurs de barbecue entre voisins, donne beaucoup trop envie de jeter son billet de retour pour s'y installer, donc finalement je ne vous le conseille pas !

Ce ciel !
(300 jours par an selon la plaquette de l'Office de Tourisme)
(pfff)

Citron salé, citron sucré, recettes et étiquettes

jeudi 4 septembre 2014


Qui n'aime pas le citron ? C'est beau, c'est bon, c'est sain, ça nettoie les éviers, ça fait des mèches blondes dans les cheveux… mais je m'égare. Restons en cuisine.

Moi le citron je l'aime sous toutes ses formes, en jus le matin (cul sec !), en vinaigrette dans la salade, vert dans les mojitos, confit dans les tajines, en huile essentielle dans les yaourts, en zestes dans les gâteaux… Le zeste tiens, parlons-en. Parfumé, frais, acidulé, il a bien des qualités mais fini souvent à la poubelle. Ce qui est dommage, surtout si les citrons sont bio.

Je profite donc de cet article pour relancer une tendance qui a connu un petit succès dans les années 2008-2009 il me semble : les sucre et sel parfumés, en optant cette fois pour les zestes de citron (vous m'avez vu venir). C'est facile et rapide à faire, ça permet de recycler ses peaux de citrons et de parfumer salades, légumes, poissons et viandes blanches pour le sel ; yaourts, salades de fruits et thés pour le sucre.




Pour faire du sel et du sucre citronnés, il vous faut :

- 3 citrons non traités
- 50 g de fleur de sel
- 150 g de sucre
- 2 bocaux
- les étiquettes à télécharger ici

1. Zestez vos citrons avec une râpe ou un zesteur (personnellement j'adore mon zesteur, je pourrai passer ma vie à zester), ne prenez que le jaune pas le blanc qui est amer. Pendant ce temps, faites chauffer votre four à 170° pendant 20 minutes.

2. Placez vos écorces sur un plat et mettez-les 10-15 minutes dans votre four chaud éteint. Elles doivent sécher mais pas brunir.

3. Écrasez les zestes avec un pilon ou passez-les au mixeur pour en faire des petits morceaux. Si vous n'avez pas ce type d'ustensiles, coupez finement les zestes avant de les mettre au four (après c'est plus compliqué, ça saute partout, je parle d'expérience).

4. Une fois refroidis, mélangez un tiers des zestes séchés à la fleur de sel ; deux tiers au sucre, ce qui équivaut à un citron pour les 50 g de sel et deux pour les 150 g de sucre.

5. Versez chaque mélange dans son bocal.

6. Imprimez, découpez et collez les étiquettes* sur les couvercles des bocaux et voi-là.







* Leur illustration vient d'une planche botanique libre de droit, plus d'infos ici !

Stockholm pas cher

mercredi 20 août 2014


Stockholm a la réputation d'être une ville chère et on va pas se mentir, elle l'est ! 10 euros le verre de vin, oui c'est la moyenne. Mais il est bien rempli et vaut facile les deux verres à 5 euros des quartiers touristiques de Paris. Car à Stockholm – contrairement à beaucoup d'endroits touristiques en France – on paye le prix fort mais en échange on a des prestations de qualité ! Dans l'hôtel, les restos et cafés que j'ai testé lors des trois jours que j’y ai passé en juillet, tout était beau et bon, avec un service décontracté mais aux petits soins.

Donc oui c’est cher mais oui c’est bien, et en plus c’est pas trop cher si on fait un peu attention ! Voici quelques trucs que j'ai pu expérimenter lors de mon séjour.



Il existe plusieurs hostels à Stockholm dont un sur un bateau et un dans une ancienne prison mais si l'idée de partager votre chambre avec un ronfleur inconnu vous rebute, je vous conseille grandement les hôtels de la chaîne Scandic. Il y en a dans toute la ville et ils font tout au long de l’année des promos très intéressantes à dénicher sur leur site (pas sur Booking).

Grâce à une de ces offres, notre chambre nous a coûté un peu moins de 90 euros la nuit. Pour le prix d’une double sans intérêt à Paris, on a profité de prestations de luxe : un petit-déjeuner pantagruélique (un buffet chaud, un buffet charcut-fromage, un buffet pain et viennoiserie, un buffet céréales avec du lait sans lactose… je pourrais en parler pendant des heures), l'accès libre à une salle de sport et à un sauna et un grand lit avec chacun sa couette (la base).

Il y a des hôtels Scandic dans toute la ville, mais je vous conseille d’en choisir un à Sodermalm, le « Brooklyn » de Stockholm, le quartier qui m'a le plus plu. Il y en a un par exemple pas loin de la place Nytorget, un endroit vivant avec beaucoup de bars et restos. Nous étions au Scandic de Normalm et ce n'était pas idéal car ce quartier est excentré et pas très intéressant.


Si vous profitez du breakast du Scandic (OK après j’arrête avec cet hôtel) vous êtes tranquille jusqu’au goûter, un petit kannelbullar et ça repart ! Sinon, pour le lunch, les propositions des restos sont raisonnables avec des plats et salades autour de 10 euros. On trouve aussi à tous les coins de rue des kiosques vendant des hot dogs avec moutarde sucrée pour 2-3 euros, les fans des hot dogs d'Ikéa seront ravis.

Le soir, les prix montent, avec des plats qui commencent facilement à 15-20 euros. L’alcool surtout atteint des sommes indécentes et pour une Française, payer 15 euros un verre de bordeaux non non non ce n'est pas possible ! Mais en restant raisonnable sur l’alcool et le nombre de plats (prenez des boulettes, ça cale), on s’en sort pas trop mal. Et l'été, on peut facilement prévoir un pique-nique dans un parc avec saumon gravlax, pain suédois et bière a 3,5° (les alcools plus forts ne sont vendus que dans les magasins du gouvernement qui ferment tôt) et bien manger pour une dizaine d’euros.


Les meubles et objets design représentant un certain budget, quand on a un portefeuille peu garni on se contente de les admirer en vitrine. Il y a quand même quelques options moins coûteuses pour des petits objets déco comme H&M Home, les magasins iris hantverk pour de jolies choses en bois et matières naturelles et les Granit pour de la déco plus "urbaine", ambiance verre-bois-métal.

Pour les vêtements, il est plus facile de faire des affaires car outre les H&M, Monki & co à tous les coins de rue, on trouve un Emmaüs à Stockholm. Il comprend deux boutiques côte à côte, une très grande et une plus petite plus orientée vintage. Pour vous donner un ordre de prix, j’y ai acheté une jupe à 3 euros et une robe a 8.


Stadtmission est un autre charity shop situé près de la place Nytorget, au cœur du quartier bobo. J'y ai vu des clogs en bon état à 320 couronnes, ce qui est beaucoup moins que celles de la boutique Swedish Hasbeens à côté. (Mais si vous voulez des clogs pas chers, je vous conseille les "seconds" du site Lotta from Stockholm).


Stockholm est une ville étendue et tout faire en marchant peut vite s'avérer fatiguant. La plupart des hôtels proposent des vélos gratuitement mais attention, ça grimpe. Le métro est cher, donc dès que vous faites plus d'un trajet, il est intéressant de prendre une carte à charger selon le nombre de voyages. Apparemment, l'acheter et la recharger chez un marchand de journaux est moins cher qu'au guichet du métro, allez savoir pourquoi.

Pour les ferries desservant les îles, logiquement plus c'est loin plus c'est cher. La petite île de Fjäderholmarna est accessible en une petite heure pour une douzaine d’euros. Elle est évidemment très fréquentée en été et donne sur le lac et pas sur la mer (du coup l'eau est vaseuse) mais reste une bonne option pour expérimenter le farniente made in Sweden.


Un grand oui comme dirait André Manoukian ! Stockholm est une ville où il fait bon vivre. Calme, spacieuse, verte, jeune, elle m'a évoqué une sorte de Berlin chic. J'ai particulièrement aimé le quartier de Sodermalm, où l'on trouve entre autres le musée Fotografiska (qui présente la très belle expo de Saldago), le restau vegétarien Hermans avec jardin et hamac, la place Nytorget où les enfants barbotent dans la fontaine et les jardins ouvriers de Tanto, un endroit luxuriant parsemé de chalets colorés, où la notion de capitale semble vraiment très très lointaine.
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